Il reconnaît « qu'en l'état, la dispense est accordée par Monsieur le président de la République qui se trouve être la plus haute autorité, les ministres ne sont que ses mandataires. Je pense qu'on va, pour le moment, laisser en l'état les dispositions de l'article 226 ». Avant d'ajouter : « Cela rassure, parce qu'il y a eu une incompréhension générale au sujet de ce texte - il le faut le reconnaître - il vaut mieux laisser les choses en l'état ».
Le ministre a rappelé également que ce « texte proposait un transfert d'une responsabilité de Monsieur le président de la République à un ministre. Il y a une incompréhension autour de cela et, on a voulu instaurer un débat qui n'est ni dans l'esprit du projet de loi ni dans son contenu. Ce débat est inutile. Je crois qu'il faut qu'on apaise le climat au Sénégal », conclut-il.
Source : Sud Quotidien