''Ce trafic des faussaires qui a duré depuis cinq ans, sans que personne n'ose s'y attaquer, s'est traduit par plus de 20 000 actes d'état-civil répertoriées non transcrits et dont les bénéficiaires ne sauront jamais se faire un extrait en cas de besoin'', a dit le secrétaire général qui animait un point de presse.
''Le préjudice subi par la municipalité est estimé à plus de 500 000 FCFA par semaine et pour tout le temps que cela a duré, puisque les recettes hebdomadaires de l'état-civil sont par la suite passées de 500 000 FCFA à plus d'un million de francs'', a-t-il souligné.
Le secrétaire général de la commune de Kaolack s'est par ailleurs félicité des efforts déployés pour assainir les finances municipales, relevant qu'aujourd'hui, '' les recettes ont, globalement, atteint un niveau extrêmement important de 40-45 millions à 110-115 millions de FCFA par semaine''.
Source : APS